Cet ouvrage puise dans les romans de chevalerie et vérifie l'adage qui donne que" l'homme est bel et bien la plus belle conquête du cheval". L'homme doit au cheval de pouvoir s'arracher au sol natal, aux usages et conventions qui le régissent, aux passions violentes qu'il engendre : ainsi la figure du "chevalier" déploie, en un seul, l'espace infini de l'errance et celui de l'amour courtois. L'auteur transmet au lecteur l'envie de relire de nombreux monuments oubliés, du Roi Arthur à Don Quichotte.