Journée emblématique du mouvement ouvrier, le 1er mai devint, avec l'arrivée au pouvoir des communistes en Tchécoslovaquie, une fête célébrant le travail et son héros, le travailleur. Primes sur objectifs, médailles et places d'honneur aux plus méritants, les récompenses foisonnaient pour faire de l'ouvrier laborieux un modèle pour tous. Valeur essentielle, le travail devait structurer la société socialiste, représentée dans sa forme idéale dans le cortège. Décortiquant les défilés de 40 années de communisme, l'auteur pointe les modifications engendrées par les évolutions de la doctrine et de la société.
Journée emblématique du mouvement ouvrier, le 1er mai devint, avec l'arrivée au pouvoir des communistes en Tchécoslovaquie, une fête célébrant le travail et son héros, le travailleur. Primes sur objectifs, médailles et places d'honneur aux plus méritants, les récompenses foisonnaient pour faire de l'ouvrier laborieux un modèle pour tous. Valeur essentielle, le travail devait structurer la société socialiste, représentée dans sa forme idéale dans le cortège. Décortiquant les défilés de 40 années de communisme, l'auteur pointe les modifications engendrées par les évolutions de la doctrine et de la société.