Entre l'invention du calcul diférentiel et la reforme de la mécanique, Leibniz avait aussi entrepris celle de la géométrie euclidienne. Dans le cadre de la "Mathesis universalis", ces recherches en vue d'établir une caractéristique géométrique fondée sur les relations de similitude, de congruence et de determination lui permirent de déjouer les embarras du second labyrinthe, celui du continu, réservant à d'autres efforts une issue vraisemblable au premier labyrinthe de la liberté et de la prédéstination.
Entre l'invention du calcul diférentiel et la reforme de la mécanique, Leibniz avait aussi entrepris celle de la géométrie euclidienne. Dans le cadre de la "Mathesis universalis", ces recherches en vue d'établir une caractéristique géométrique fondée sur les relations de similitude, de congruence et de determination lui permirent de déjouer les embarras du second labyrinthe, celui du continu, réservant à d'autres efforts une issue vraisemblable au premier labyrinthe de la liberté et de la prédéstination.