Le présent essai propose une lecture comparée de la tétralogie américaine de Philip Roth (Pastorale américaine (1997), J'ai épousé un communiste (1998), La tache (2000), Le complot contre l'Amérique (2004)) et de quatre romans du cycle tchèque de Milan Kundera (La Plaisanterie (1967), La vie est ailleurs (1973), Le livre du rire et de l'oubli ( 1979), L'insoutenable légèreté de l'être (1984)). À travers l'éclairage des deux romanciers sur l'histoire, l'essai interroge la capacité de la fiction à subvertir les discours idéologiques et à réinventer l'histoire factuelle.
Le présent essai propose une lecture comparée de la tétralogie américaine de Philip Roth (Pastorale américaine (1997), J'ai épousé un communiste (1998), La tache (2000), Le complot contre l'Amérique (2004)) et de quatre romans du cycle tchèque de Milan Kundera (La Plaisanterie (1967), La vie est ailleurs (1973), Le livre du rire et de l'oubli ( 1979), L'insoutenable légèreté de l'être (1984)). À travers l'éclairage des deux romanciers sur l'histoire, l'essai interroge la capacité de la fiction à subvertir les discours idéologiques et à réinventer l'histoire factuelle.