En mars 1999, la Régie Renault fit fermer un garage sans en avoir licencié le personnel selon les normes en vigueur. Refusant cet état de fait, les employés s'obligèrent à se présenter, chaque matin, sur le lieu de travail, puisque n'étant pas officiellement licenciés. Étant ainsi régulièrement présents et bien que n'exerçant plus aucune activité professionnelle, la Direction se trouva dans l'obligation de continuer à leur verser leurs salaires. Ce texte théâtral évoque ces longues journées d'attente, faites d'espoir et d'abattement, de colères et de résignation mais aussi parfois de rires.
En mars 1999, la Régie Renault fit fermer un garage sans en avoir licencié le personnel selon les normes en vigueur. Refusant cet état de fait, les employés s'obligèrent à se présenter, chaque matin, sur le lieu de travail, puisque n'étant pas officiellement licenciés. Étant ainsi régulièrement présents et bien que n'exerçant plus aucune activité professionnelle, la Direction se trouva dans l'obligation de continuer à leur verser leurs salaires. Ce texte théâtral évoque ces longues journées d'attente, faites d'espoir et d'abattement, de colères et de résignation mais aussi parfois de rires.