Responsabilité sociale des entreprises (RSE) : Un thème de réflexion, de recherche, d’enseignement et une source d’inspiration pour les entreprises soucieuses d’inscrire leurs activités dans la durabilité.
Deux voies proposées :
- Inscrire l’action des entreprises en conformité avec des normes négociées internationalement et rendre les entreprises imputables envers les communautés et les sociétés qui les entourent.
- Prise en compte par les entreprises des intérêts de l’ensemble des " parties prenantes " tout en recherchant une performance au triple plan : économique, social et environnemental.
Mais…
La responsabilité sociale des entreprises ne serait-elle pas un nouveau mode de gouvernance du capitalisme en quête de légitimité, dans un contexte de contestation de la " mondialisation néolibérale " et de ses répercussions négatives sur le plan tant social (accroissement des inégalités) qu’environnemental (dégradation des conditions environnementales) ?
Le rôle de l’État de servir le bien collectif en exerçant son pouvoir d’intervention législative ne serait-il pas antinomique avec un pouvoir " revendiqué " d’autorégulation des grandes entreprises ?
Et si…
- Les expériences d’économie sociale pouvaient représenter une solution de rechange crédible ?
- Une action citoyenne " organisée " pouvait faire face à l’irréversibilité possible de certaines conséquences des actions humaines ?
Mirage ou réalité ?
Responsabilité sociale des entreprises (RSE) : Un thème de réflexion, de recherche, d’enseignement et une source d’inspiration pour les entreprises soucieuses d’inscrire leurs activités dans la durabilité.
Deux voies proposées :
- Inscrire l’action des entreprises en conformité avec des normes négociées internationalement et rendre les entreprises imputables envers les communautés et les sociétés qui les entourent.
- Prise en compte par les entreprises des intérêts de l’ensemble des " parties prenantes " tout en recherchant une performance au triple plan : économique, social et environnemental.
Mais…
La responsabilité sociale des entreprises ne serait-elle pas un nouveau mode de gouvernance du capitalisme en quête de légitimité, dans un contexte de contestation de la " mondialisation néolibérale " et de ses répercussions négatives sur le plan tant social (accroissement des inégalités) qu’environnemental (dégradation des conditions environnementales) ?
Le rôle de l’État de servir le bien collectif en exerçant son pouvoir d’intervention législative ne serait-il pas antinomique avec un pouvoir " revendiqué " d’autorégulation des grandes entreprises ?
Et si…
- Les expériences d’économie sociale pouvaient représenter une solution de rechange crédible ?
- Une action citoyenne " organisée " pouvait faire face à l’irréversibilité possible de certaines conséquences des actions humaines ?
Mirage ou réalité ?