« tu expires sur un temps de trois pulpes pulses. si fort que mon carrelage se fissure. de l’autre côté du lavabo. dans le miroir qui surplombe la tuyauterie. j’ai découvert des ruisseaux derrière mes cuisses. vallons creusés dans une peau autrefois tendue. ils divisent la chair. traversée en rangs. je n’ai plus que la moiteur pour sucrer la plaie ».