Véritable classique de l’écologie, La simplicité volontaire est une réflexion profonde sur notre rapport à la consommation et sur notre pouvoir d’organiser notre vie autrement. Serge Mongeau remet en question la société de consommation dans toutes ses dimensions, cette «cage dorée» qui s’avère une source de multiples aliénations : les individus existent par ce qu’ils possèdent et non plus par ce qu’ils sont, pendant que la frénésie consommatrice continue à menacer notre environnement.. Privilégiant l’être sur l’avoir, l’auteur prône une philosophie de vie recentrée sur les besoins essentiels, les plaisirs simples, l’engagement dans sa communauté – des comportements à la base de l’épanouissement personnel et collectif. Vingt-cinq ans après avoir propulsé le concept dans l’espace public et près de 40 000 exemplaires plus tard, La simplicité volontaire n’a rien perdu de sa pertinence ; même que la démarche s’impose plus que jamais. Une occasion unique de (re)découvrir une pensée d’une grande sagesse.. Pour ma part, il y a longtemps que j’ai découvert que «le système» – la société de consommation dans laquelle je vis – nous enferme, individuellement et collectivement, dans une cage qui nous laisse de moins en moins de choix véritables et de vraie liberté. Que les barreaux de la cage soient dorés ne change rien à la réalité profonde de l’aliénation de ses prisonniers..