"L'hôte aveugle retrouve la vue" sur laquelle s'acharne la critique arabe, puise son essence critique dans le passé grec pour tracer la perversité du présent. Librement inspirée de "Ploutos" d'Aristophane, la pièce de Etman s'avère être "nécessaire", pour se référer à Rilke, dans cette période que traverse le monde arabe. Cette critique "à l'antique" d'un auteur égyptien contemporain, professeur de lettres classiques, traducteur d'Homère et grand comparatiste, n'est pas sans effet de surprise.
"L'hôte aveugle retrouve la vue" sur laquelle s'acharne la critique arabe, puise son essence critique dans le passé grec pour tracer la perversité du présent. Librement inspirée de "Ploutos" d'Aristophane, la pièce de Etman s'avère être "nécessaire", pour se référer à Rilke, dans cette période que traverse le monde arabe. Cette critique "à l'antique" d'un auteur égyptien contemporain, professeur de lettres classiques, traducteur d'Homère et grand comparatiste, n'est pas sans effet de surprise.