Cette étude auprès de Thaï Lao, de Hmong, Khamou, Sô, Yao et Taî Mueï, dans les districts de Louang Phrabang, de Vang Vieng, de Paksane et de Thakhek, souligne les différences culturelles profondes entre les montagnards déplacés et les gens des basses terres. Elles apparaissent dans la mobilité, la relation à l'eau et la protection contre le paludisme. Une prise en compte par les services publics de santé devraient permettre de limiter les risques sanitaires, mais aussi de désamorcer les conflits entre les groupes ethniques.
Cette étude auprès de Thaï Lao, de Hmong, Khamou, Sô, Yao et Taî Mueï, dans les districts de Louang Phrabang, de Vang Vieng, de Paksane et de Thakhek, souligne les différences culturelles profondes entre les montagnards déplacés et les gens des basses terres. Elles apparaissent dans la mobilité, la relation à l'eau et la protection contre le paludisme. Une prise en compte par les services publics de santé devraient permettre de limiter les risques sanitaires, mais aussi de désamorcer les conflits entre les groupes ethniques.