Entre le XIXe et le XXe siècle, alors que le flamenco et la tauromachie étaient les ambassadeurs de la culture espagnole à l'étranger, ils devenaient, en Espagne, l'espace de déchirements internes. Face à cette image futile ou sauvage, émerge, en Espagne, un front "anti-flamenquiste" qui lutte à la fois contre le flamenco et les corridas. Ce livre tente de comprendre pourquoi un très grand nombre d'intellectuels, de journalistes et d'hommes politiques ont alors rejeté ces deux aspects incontournables et populaires de la vie artistique espagnole.
Entre le XIXe et le XXe siècle, alors que le flamenco et la tauromachie étaient les ambassadeurs de la culture espagnole à l'étranger, ils devenaient, en Espagne, l'espace de déchirements internes. Face à cette image futile ou sauvage, émerge, en Espagne, un front "anti-flamenquiste" qui lutte à la fois contre le flamenco et les corridas. Ce livre tente de comprendre pourquoi un très grand nombre d'intellectuels, de journalistes et d'hommes politiques ont alors rejeté ces deux aspects incontournables et populaires de la vie artistique espagnole.