« Ce fut alors que la vérité, qui est aveugle, qui est sourde et qui ne vole que dans les ténèbres les plus épaisses, se posa sur moi, épuisée comme une colombe, la quarante-deuxième nuit du déluge. Je compris que toutes mes facéties formaient un langage chiffré et que je m’étais servi d’elles pour lancer un message, presque un SOS qui disait que j’étais disponible et prêt à tout. »
Jacques Ferron .