"Il faut substituer une pensée qui relie à une pensée qui disjoint", comme le disent Stéphane Hessel et Edgar Morin. Nous voyons très souvent la complexité du monde comme angoissante, même menaçante. L'auteur veut nous la montrer comme une source intarissable de joie et vivre et de libération. La suite de ce volume, consacré à la complexité du monde, porte sur la complexité humaine.
"Il faut substituer une pensée qui relie à une pensée qui disjoint", comme le disent Stéphane Hessel et Edgar Morin. Nous voyons très souvent la complexité du monde comme angoissante, même menaçante. L'auteur veut nous la montrer comme une source intarissable de joie et vivre et de libération. La suite de ce volume, consacré à la complexité du monde, porte sur la complexité humaine.
"Il faut substituer une pensée qui relie à une pensée qui disjoint", comme le disent Stéphane Hessel et Edgar Morin. Nous voyons très souvent la complexité du monde comme angoissante, même menaçante. L'auteur veut nous la montrer comme une source intarissable de joie et vivre et de libération. La suite de ce volume, consacré à la complexité du monde, porte sur la complexité humaine.
"Il faut substituer une pensée qui relie à une pensée qui disjoint", comme le disent Stéphane Hessel et Edgar Morin. Nous voyons très souvent la complexité du monde comme angoissante, même menaçante. L'auteur veut nous la montrer comme une source intarissable de joie et vivre et de libération. La suite de ce volume, consacré à la complexité du monde, porte sur la complexité humaine.