Ni le consensus politique obtenu par le départ du président Jean-Bertrand Aristide (tome I), ni l'arrivée de Gérard Latortue à la tête d'un gouvernement de technocrates (tome II), ni, enfin, l'armada militaire de la Communauté internationale (Minustah) n'ont apporté au pays cette paix des braves et la stabilité politique et sociale tant recherchée. En fait, Haïti reste confinée dans son cercle vicieux : pauvreté, instabilité, insécurité, violence politique, mauvaise gouvernance.
Ni le consensus politique obtenu par le départ du président Jean-Bertrand Aristide (tome I), ni l'arrivée de Gérard Latortue à la tête d'un gouvernement de technocrates (tome II), ni, enfin, l'armada militaire de la Communauté internationale (Minustah) n'ont apporté au pays cette paix des braves et la stabilité politique et sociale tant recherchée. En fait, Haïti reste confinée dans son cercle vicieux : pauvreté, instabilité, insécurité, violence politique, mauvaise gouvernance.