Depuis le début des années 1980, les formes que revêt l’action collective sont des plus diversifiées. Elles se situent autant sur le terrain institutionnel qu’en marge des institutions. En considérant les conflits qui se sont déroulés à Montréal, les auteurs formulent une analyse des enjeux et des modalités de l’action collective. Pour ce faire, une étude empirique s’est révélée incontournable. En passant en revue les mobilisations tant par rapport aux problèmes de justice sociale que d’environnement et en prenant en compte les luttes passées de même que les spécificités conjoncturelles des années 1980, 1990 et 2000, on peut mieux saisir la portée et les limites de l’engagement des acteurs sociaux.
Depuis le début des années 1980, les formes que revêt l’action collective sont des plus diversifiées. Elles se situent autant sur le terrain institutionnel qu’en marge des institutions. En considérant les conflits qui se sont déroulés à Montréal, les auteurs formulent une analyse des enjeux et des modalités de l’action collective. Pour ce faire, une étude empirique s’est révélée incontournable. En passant en revue les mobilisations tant par rapport aux problèmes de justice sociale que d’environnement et en prenant en compte les luttes passées de même que les spécificités conjoncturelles des années 1980, 1990 et 2000, on peut mieux saisir la portée et les limites de l’engagement des acteurs sociaux.