En exposant ses tergiversations entre l'agir érotique et la sublimation, Thomas témoigne du passage de ses fantasmes des "tripes" à "l'esprit". Ici Thomas libère l'adulte de l'obsession scato-urophilique "abjecte" et l'ouvre à la création intellectuelle "sublime". Ce travail va profondément dans l'archaïque, aux confins de l'excorpation du mot, à la source du pulsionnel.