Partage le journal intime de Camille et découvre sa vocation de sculptrice . 15 février 1878 . « En plus d'un corps disgracieux, j'ai un autre défaut qui met en rage notre mère : je suis fascinée par la sculpture. Mais cet art est réservé aux hommes. Une jeune fille normale est supposée s'intéresser à la peinture de fleurs et de paysages, mais je ne suis pas habile avec un pinceau. Moi, ce que j'aime, c'est sentir la matière que je travaille dans mes mains, malaxer la glaise pour façonner une silhouette. ».