Les Bleus de l'existence est le premier recueil de textes chantants, "slamé", de
Nèfta. Pour l'auteur, qui adopte un nom de plume, il ne s'agit pas de se cacher mais de faire la part des choses entre deux vies. "Chaque fois que mon corps a été étreint par des pensées noires, des sentiments contradictoires, des réflexions profondes ou nostalgiques ; chaque fois qu'ils brûlaient dans mes entrailles, mon coeur, mon âme (...) ; ou chaque fois que j'ai repensé à des moments partagés avec ceux que j'aime, je me suis assise parfois, je me suis allongée
Les Bleus de l'existence est le premier recueil de textes chantants, "slamé", de
Nèfta. Pour l'auteur, qui adopte un nom de plume, il ne s'agit pas de se cacher mais de faire la part des choses entre deux vies. "Chaque fois que mon corps a été étreint par des pensées noires, des sentiments contradictoires, des réflexions profondes ou nostalgiques ; chaque fois qu'ils brûlaient dans mes entrailles, mon coeur, mon âme (...) ; ou chaque fois que j'ai repensé à des moments partagés avec ceux que j'aime, je me suis assise parfois, je me suis allongée
Les Bleus de l'existence est le premier recueil de textes chantants, "slamé", de
Nèfta. Pour l'auteur, qui adopte un nom de plume, il ne s'agit pas de se cacher mais de faire la part des choses entre deux vies. "Chaque fois que mon corps a été étreint par des pensées noires, des sentiments contradictoires, des réflexions profondes ou nostalgiques ; chaque fois qu'ils brûlaient dans mes entrailles, mon coeur, mon âme (...) ; ou chaque fois que j'ai repensé à des moments partagés avec ceux que j'aime, je me suis assise parfois, je me suis allongée
Les Bleus de l'existence est le premier recueil de textes chantants, "slamé", de
Nèfta. Pour l'auteur, qui adopte un nom de plume, il ne s'agit pas de se cacher mais de faire la part des choses entre deux vies. "Chaque fois que mon corps a été étreint par des pensées noires, des sentiments contradictoires, des réflexions profondes ou nostalgiques ; chaque fois qu'ils brûlaient dans mes entrailles, mon coeur, mon âme (...) ; ou chaque fois que j'ai repensé à des moments partagés avec ceux que j'aime, je me suis assise parfois, je me suis allongée