Les registres matricules du XIXe siècle, établis pour recenser les conscrits, fournissent une description physique de chaque recrue. L'hypothèse sous-jacente est que le patrimoine génétique de la population de la Manche n'a pas connu de grands bouleversements au cours des siècles. La Manche apparaît plus comme un pays exportateur d'hommes. La dernière vague migratoire d'importance remonte à la déferlante scandinave des X et XIe siècles. Les apports humains postérieurs très limités n'ont guère modifié ce patrimoine génétique.
Les registres matricules du XIXe siècle, établis pour recenser les conscrits, fournissent une description physique de chaque recrue. L'hypothèse sous-jacente est que le patrimoine génétique de la population de la Manche n'a pas connu de grands bouleversements au cours des siècles. La Manche apparaît plus comme un pays exportateur d'hommes. La dernière vague migratoire d'importance remonte à la déferlante scandinave des X et XIe siècles. Les apports humains postérieurs très limités n'ont guère modifié ce patrimoine génétique.