Sous couvert du Progrès entendu comme la quête du Bien, le sujet de la parole est de plus en plus muselé par un discours hégémonique : le discours scientifique, technologique et marchand. Colonisé par les exigences néolibérales (rendement, productivité, efficacité, évaluation, etc.), l'auteur interroge ce qu'un tel discours implique dès lors qu'il place l'argent au centre des préoccupations, n'accordant d'importance qu'aux profits réalisés par une minorité au détriment de l'intérêt général.
Sous couvert du Progrès entendu comme la quête du Bien, le sujet de la parole est de plus en plus muselé par un discours hégémonique : le discours scientifique, technologique et marchand. Colonisé par les exigences néolibérales (rendement, productivité, efficacité, évaluation, etc.), l'auteur interroge ce qu'un tel discours implique dès lors qu'il place l'argent au centre des préoccupations, n'accordant d'importance qu'aux profits réalisés par une minorité au détriment de l'intérêt général.