L'auteure présente la non-violence comme une appréhension renouvelée des relations et des conflits sociaux, loin du pacifisme naïf et de la pureté morale qui lui sont souvent associés. La violence entraînerait une reproduction des cadres et des pratiques institués alors que la non-violence permettrait de fonder une éthique politique basée sur l'interdépendance, l'égalité et l'anti-individualisme.