Le Salon d'été conçu par Jean Dubuffet devait être une sculpture monumentale qui serait édifiée, aux frais de la Régie Renault, à Boulogne-Billancourt. En 1975, cependant, et alors que la moitié de l'oeuvre était déjà construite, la Régie décida d'arrêter les travaux et de rompre le contrat. Dubuffet intenta alors un procès pour contraindre la Régie à achever l'oeuvre. L'un des avocats de l'artiste raconte ce marathon. Procès au dénouement surprenant, mais qui a permis aux tribunaux de donner une définition de l'oeuvre d'art et de préciser le contenu du droit moral de l'artiste en cas de construction monumentale.
Le Salon d'été conçu par Jean Dubuffet devait être une sculpture monumentale qui serait édifiée, aux frais de la Régie Renault, à Boulogne-Billancourt. En 1975, cependant, et alors que la moitié de l'oeuvre était déjà construite, la Régie décida d'arrêter les travaux et de rompre le contrat. Dubuffet intenta alors un procès pour contraindre la Régie à achever l'oeuvre. L'un des avocats de l'artiste raconte ce marathon. Procès au dénouement surprenant, mais qui a permis aux tribunaux de donner une définition de l'oeuvre d'art et de préciser le contenu du droit moral de l'artiste en cas de construction monumentale.
Le Salon d'été conçu par Jean Dubuffet devait être une sculpture monumentale qui serait édifiée, aux frais de la Régie Renault, à Boulogne-Billancourt. En 1975, cependant, et alors que la moitié de l'oeuvre était déjà construite, la Régie décida d'arrêter les travaux et de rompre le contrat. Dubuffet intenta alors un procès pour contraindre la Régie à achever l'oeuvre. L'un des avocats de l'artiste raconte ce marathon. Procès au dénouement surprenant, mais qui a permis aux tribunaux de donner une définition de l'oeuvre d'art et de préciser le contenu du droit moral de l'artiste en cas de construction monumentale.
Le Salon d'été conçu par Jean Dubuffet devait être une sculpture monumentale qui serait édifiée, aux frais de la Régie Renault, à Boulogne-Billancourt. En 1975, cependant, et alors que la moitié de l'oeuvre était déjà construite, la Régie décida d'arrêter les travaux et de rompre le contrat. Dubuffet intenta alors un procès pour contraindre la Régie à achever l'oeuvre. L'un des avocats de l'artiste raconte ce marathon. Procès au dénouement surprenant, mais qui a permis aux tribunaux de donner une définition de l'oeuvre d'art et de préciser le contenu du droit moral de l'artiste en cas de construction monumentale.