Dans son ouvrage majeur sur Shakespeare, Les Feux de l'envie, paru en 1990, René Girard proposait une lecture neuve de l'oeuvre du dramaturge élisabéthain. Le présent essai se veut une suite de cette recherche et se focalise prioritairement sur les Sonnets. Depuis toujours considérés comme "obscurs", ceux-ci prennent une dimension radicalement nouvelle sous l'éclairage de la théorie mimétique.
Dans son ouvrage majeur sur Shakespeare, Les Feux de l'envie, paru en 1990, René Girard proposait une lecture neuve de l'oeuvre du dramaturge élisabéthain. Le présent essai se veut une suite de cette recherche et se focalise prioritairement sur les Sonnets. Depuis toujours considérés comme "obscurs", ceux-ci prennent une dimension radicalement nouvelle sous l'éclairage de la théorie mimétique.