Le chant qu'entonne le choeur de nos dirigeants est celui de la croissance illimitée de la puissance. Cette démesure est profondément néfaste. Ne pouvons-nous renoncer à l'hégémonie d'un type de puissance ? La "décroissance" n'est qu'un palliatif. L'humanité, fragile et inventive, est capable de contribuer à cette immense variété de modes de vie, de formes de solidarité, de voies de création, de moyens de s'enrichir, qui se combinent et se fertilisent mutuellement... à l'infini.
Le chant qu'entonne le choeur de nos dirigeants est celui de la croissance illimitée de la puissance. Cette démesure est profondément néfaste. Ne pouvons-nous renoncer à l'hégémonie d'un type de puissance ? La "décroissance" n'est qu'un palliatif. L'humanité, fragile et inventive, est capable de contribuer à cette immense variété de modes de vie, de formes de solidarité, de voies de création, de moyens de s'enrichir, qui se combinent et se fertilisent mutuellement... à l'infini.
Le chant qu'entonne le choeur de nos dirigeants est celui de la croissance illimitée de la puissance. Cette démesure est profondément néfaste. Ne pouvons-nous renoncer à l'hégémonie d'un type de puissance ? La "décroissance" n'est qu'un palliatif. L'humanité, fragile et inventive, est capable de contribuer à cette immense variété de modes de vie, de formes de solidarité, de voies de création, de moyens de s'enrichir, qui se combinent et se fertilisent mutuellement... à l'infini.
Le chant qu'entonne le choeur de nos dirigeants est celui de la croissance illimitée de la puissance. Cette démesure est profondément néfaste. Ne pouvons-nous renoncer à l'hégémonie d'un type de puissance ? La "décroissance" n'est qu'un palliatif. L'humanité, fragile et inventive, est capable de contribuer à cette immense variété de modes de vie, de formes de solidarité, de voies de création, de moyens de s'enrichir, qui se combinent et se fertilisent mutuellement... à l'infini.