Initiée depuis le milieu du siècle dernier, la mise en place par la diaspora camerounaise d'un mouvement associatif en migration connaît une évolution spécifique dont témoigne une accélération considérable durant la décennie 1997-2007. L'auteur restitue les atouts et les limites de ce mouvement, autant endogènes qu'exogènes, tout en envisageant les perspectives conséquentes.
Initiée depuis le milieu du siècle dernier, la mise en place par la diaspora camerounaise d'un mouvement associatif en migration connaît une évolution spécifique dont témoigne une accélération considérable durant la décennie 1997-2007. L'auteur restitue les atouts et les limites de ce mouvement, autant endogènes qu'exogènes, tout en envisageant les perspectives conséquentes.