Tout est fascinant chez Merlin. Il est le fils du diable, mais oeuvre pour Dieu en assistant le roi Arthur. Curieusement après trois siècles d'absence, il réapparaît tout au début du XIXeme siècle, comme s'il était sorti de sa prison. Des poètes ont consacrés leur talent à la figure de l'enchanteur breton. Comment peut-on expliquer un tel renouveau ? L'ampleur de cette renaissance littéraire peut-elle s'apparenter à la constitution d'un mythe du romantisme européen ?
Tout est fascinant chez Merlin. Il est le fils du diable, mais oeuvre pour Dieu en assistant le roi Arthur. Curieusement après trois siècles d'absence, il réapparaît tout au début du XIXeme siècle, comme s'il était sorti de sa prison. Des poètes ont consacrés leur talent à la figure de l'enchanteur breton. Comment peut-on expliquer un tel renouveau ? L'ampleur de cette renaissance littéraire peut-elle s'apparenter à la constitution d'un mythe du romantisme européen ?