Malgré l'armistice de 1940, la France n'a jamais cessé le combat. Cependant, il n'y a pas que les grandes épopées des Forces Françaises Libres ou le travail d'un Colonel Rémy qui en témoignent. Ce fut aussi le cas de la Compagnie du Capitaine Georges de Lannurien (200 hommes). Elle était composée de prisonniers de guerre évadés et de déserteurs du STO. Ainsi, le récit de Miroslaw Kovarik ne relate pas l'histoire même du Soulèvement National Slovaque, mais illustre les faits et actes glorieusement accomplis en Slovaquie par un petit groupe de soldats français.
Malgré l'armistice de 1940, la France n'a jamais cessé le combat. Cependant, il n'y a pas que les grandes épopées des Forces Françaises Libres ou le travail d'un Colonel Rémy qui en témoignent. Ce fut aussi le cas de la Compagnie du Capitaine Georges de Lannurien (200 hommes). Elle était composée de prisonniers de guerre évadés et de déserteurs du STO. Ainsi, le récit de Miroslaw Kovarik ne relate pas l'histoire même du Soulèvement National Slovaque, mais illustre les faits et actes glorieusement accomplis en Slovaquie par un petit groupe de soldats français.