L’annonce était accompagnée de la photo d’une bâtisse digne du château de Dracula, dont les jardins d’inspiration probablement roumaine invitaient à la méditation, au jardinage ou à l’empalement cervical. Je suis resté songeur; j’imaginais mon cerveau atrophié qu’on aurait embroché sur le pic d’une de ces hautes clôtures, à la merci des vautours, quand on se serait rendu compte qu’il était sans espoir, vide..