L'esclavage repose sur l'arbitraire. Marie-Josèphe-Angélique n'y fait pas exception. Née au Portugal, elle échoue à Montréal. En 1734, elle est accusée d'avoir mis le feu à la maison de sa maîtresse et d'avoir causé le brasier qui a rasé une quarantaine de maisons de la rue Saint-Paul. Carlos Taveira dresse un portrait réaliste des classes sociales en Nouvelle-France. Fusionnant habilement l'histoire et l'imaginaire, il raconte, dans une langue splendide, une époque mal connue. L'auteur agite la fatalité collée à la peau de l'esclave noire dont le monde intérieur fascine, car elle réussit à discipliner ses frayeurs et ses colères. Le roman raconte un pan refoulé de l'histoire du Canada, donnant la parole aux nombreuses femmes imaginaires qui, à l'intérieur de l'esclave, défient les juges. 11 provoque l'indignation. Une écriture efficace et un souffle puissant donnent une voix à une damnée de la Terre.
L'esclavage repose sur l'arbitraire. Marie-Josèphe-Angélique n'y fait pas exception. Née au Portugal, elle échoue à Montréal. En 1734, elle est accusée d'avoir mis le feu à la maison de sa maîtresse et d'avoir causé le brasier qui a rasé une quarantaine de maisons de la rue Saint-Paul. Carlos Taveira dresse un portrait réaliste des classes sociales en Nouvelle-France. Fusionnant habilement l'histoire et l'imaginaire, il raconte, dans une langue splendide, une époque mal connue. L'auteur agite la fatalité collée à la peau de l'esclave noire dont le monde intérieur fascine, car elle réussit à discipliner ses frayeurs et ses colères. Le roman raconte un pan refoulé de l'histoire du Canada, donnant la parole aux nombreuses femmes imaginaires qui, à l'intérieur de l'esclave, défient les juges. 11 provoque l'indignation. Une écriture efficace et un souffle puissant donnent une voix à une damnée de la Terre.
L'esclavage repose sur l'arbitraire. Marie-Josèphe-Angélique n'y fait pas exception. Née au Portugal, elle échoue à Montréal. En 1734, elle est accusée d'avoir mis le feu à la maison de sa maîtresse et d'avoir causé le brasier qui a rasé une quarantaine de maisons de la rue Saint-Paul. Carlos Taveira dresse un portrait réaliste des classes sociales en Nouvelle-France. Fusionnant habilement l'histoire et l'imaginaire, il raconte, dans une langue splendide, une époque mal connue. L'auteur agite la fatalité collée à la peau de l'esclave noire dont le monde intérieur fascine, car elle réussit à discipliner ses frayeurs et ses colères. Le roman raconte un pan refoulé de l'histoire du Canada, donnant la parole aux nombreuses femmes imaginaires qui, à l'intérieur de l'esclave, défient les juges. 11 provoque l'indignation. Une écriture efficace et un souffle puissant donnent une voix à une damnée de la Terre.
L'esclavage repose sur l'arbitraire. Marie-Josèphe-Angélique n'y fait pas exception. Née au Portugal, elle échoue à Montréal. En 1734, elle est accusée d'avoir mis le feu à la maison de sa maîtresse et d'avoir causé le brasier qui a rasé une quarantaine de maisons de la rue Saint-Paul. Carlos Taveira dresse un portrait réaliste des classes sociales en Nouvelle-France. Fusionnant habilement l'histoire et l'imaginaire, il raconte, dans une langue splendide, une époque mal connue. L'auteur agite la fatalité collée à la peau de l'esclave noire dont le monde intérieur fascine, car elle réussit à discipliner ses frayeurs et ses colères. Le roman raconte un pan refoulé de l'histoire du Canada, donnant la parole aux nombreuses femmes imaginaires qui, à l'intérieur de l'esclave, défient les juges. 11 provoque l'indignation. Une écriture efficace et un souffle puissant donnent une voix à une damnée de la Terre.