Interdit de lecture à toutes les femmes qui rêvent d’avoir un enfant un jour.
Ce n’est pas un roman, c’est un cri du cœur que Carole pousse jusqu’à en perdre la voix. Alexandre, ce fils qu’elle adore plus que tout est en train d’avoir sa peau à force de trop l’aimer, du moins c’est ce qu’il prétend.
C’est une espèce de trop-plein, un genre « d’écoeurantite » aigue qui trouvera écho chez plusieurs mères, même chez celles qui n’osent pas encore s’avouer que le métier de mère est de loin celui qui laisse le plus de traces et de nombreux bleus qui ne guériront jamais.
Par la faute de son fils, Carole ne peut plus regarder un rouleau de papier de toilette en face, pas plus que ses bâtons de golf qu’elle a rangés définitivement après une partie mémorable. Elle en est au point où elle frémit chaque fois qu’elle voit le nom de son merveilleux rejeton s’afficher sur l’écran de son cellulaire.
Où qu’elle aille, quoi qu’elle fasse, la bête n’est jamais bien loin…
Interdit de lecture à toutes les femmes qui rêvent d’avoir un enfant un jour.
Ce n’est pas un roman, c’est un cri du cœur que Carole pousse jusqu’à en perdre la voix. Alexandre, ce fils qu’elle adore plus que tout est en train d’avoir sa peau à force de trop l’aimer, du moins c’est ce qu’il prétend.
C’est une espèce de trop-plein, un genre « d’écoeurantite » aigue qui trouvera écho chez plusieurs mères, même chez celles qui n’osent pas encore s’avouer que le métier de mère est de loin celui qui laisse le plus de traces et de nombreux bleus qui ne guériront jamais.
Par la faute de son fils, Carole ne peut plus regarder un rouleau de papier de toilette en face, pas plus que ses bâtons de golf qu’elle a rangés définitivement après une partie mémorable. Elle en est au point où elle frémit chaque fois qu’elle voit le nom de son merveilleux rejeton s’afficher sur l’écran de son cellulaire.
Où qu’elle aille, quoi qu’elle fasse, la bête n’est jamais bien loin…