Avec l'écriture de ce journal, Ti-Mé le magnifique entre dans la famille des grands jongleurs de l'absurde, ceux qui dépriment le monde par leur joyeuse angoisse. Ti-Mé se prend à la fois pour Dieu et Woody Allen dans ces savoureuses élucubrations, truffées de considérations métaphysiques, de critiques sociales et politiques, de désopilantes confidences sur sa vie conjugale avec Moman et sur la tribu de La Petite Vie. Sous la philosophie de Ti-Mé, les idées reçues prennent un coup de varlope !.