« J'haïs l'amour. Mais j'haïs encore plus ces romantiques utopistes fans de Bruno Pelletier qui croient que “l'amour est la seule vraie raison de vivre”. Des adolescentes ingénues qui frétillent à chacun des émoticônes envoyés par texto sur leur cellulaire source de vie, des facéties ridicules exécutées par des prépubères surexcités voulant séduire des jeunes filles crédules et bornées, des airs fredonnés en concomitance et des souvenirs remémorés journellement pour faire mine d'avoir été destiné, des plans d'avenir irréalisables imaginés pour oublier l'éphémérité de leur engagement, des mensonges perpétrés pour solidifier une relation supposément bâtie sur le respect mutuel, une vie gâchée par des espoirs vains d'un prince charmant qui n'existe pas. La seule vraie raison de vivre? Je ne crois pas, non. »
« J'haïs l'amour. Mais j'haïs encore plus ces romantiques utopistes fans de Bruno Pelletier qui croient que “l'amour est la seule vraie raison de vivre”. Des adolescentes ingénues qui frétillent à chacun des émoticônes envoyés par texto sur leur cellulaire source de vie, des facéties ridicules exécutées par des prépubères surexcités voulant séduire des jeunes filles crédules et bornées, des airs fredonnés en concomitance et des souvenirs remémorés journellement pour faire mine d'avoir été destiné, des plans d'avenir irréalisables imaginés pour oublier l'éphémérité de leur engagement, des mensonges perpétrés pour solidifier une relation supposément bâtie sur le respect mutuel, une vie gâchée par des espoirs vains d'un prince charmant qui n'existe pas. La seule vraie raison de vivre? Je ne crois pas, non. »