Dotée d'un physique imposant, d'une personnalité colorée et d'un caractère à toute épreuve, Mary Travers, dite La Bolduc, ne laissait personne indifférent, allant même jusqu'à déranger l'autorité religieuse. Son arme redoutable : ses chansons comiques à double sens qui collaient à la peau des petites gens. La mauvaise presse avait beau la banaliser en la qualifiant de « commune et vulgaire », la « turluteuse » rétorquait de plus belle avec d'autres refrains drolatiques pour divertir ceux qui l'adulaient et achetaient ses disques par milliers. Malgré les années noires de la Grande Dépression partout où La Bolduc était invitée, elle s'y produisait à guichets fermés. Et cela, les directeurs des salles de spectacles, tout comme les curés des villages, l'avaient bien compris…
La Bolduc : « Le violon de mon père » nous fait revivre le parcours de Mary Travers, dite « madame Bolduc », qui fut la première auteure-compositeure-interprète du Québec à vivre de son art. Son histoire est un périple rempli d'émotion, de courage et de persévérance, et le portrait de toute une époque. Marie Louise Monast nous raconte l'étonnante épopée de la grande chanteuse, à travers ses yeux, son coeur et son âme, de sa Gaspésie natale jusqu'aux feux de la rampe à Montréal. En apprenant à connaître La Bolduc, plus personne n'écoutera ses chansons ni ne l'entendra turluter de la même façon…
Dotée d'un physique imposant, d'une personnalité colorée et d'un caractère à toute épreuve, Mary Travers, dite La Bolduc, ne laissait personne indifférent, allant même jusqu'à déranger l'autorité religieuse. Son arme redoutable : ses chansons comiques à double sens qui collaient à la peau des petites gens. La mauvaise presse avait beau la banaliser en la qualifiant de « commune et vulgaire », la « turluteuse » rétorquait de plus belle avec d'autres refrains drolatiques pour divertir ceux qui l'adulaient et achetaient ses disques par milliers. Malgré les années noires de la Grande Dépression partout où La Bolduc était invitée, elle s'y produisait à guichets fermés. Et cela, les directeurs des salles de spectacles, tout comme les curés des villages, l'avaient bien compris…
La Bolduc : « Le violon de mon père » nous fait revivre le parcours de Mary Travers, dite « madame Bolduc », qui fut la première auteure-compositeure-interprète du Québec à vivre de son art. Son histoire est un périple rempli d'émotion, de courage et de persévérance, et le portrait de toute une époque. Marie Louise Monast nous raconte l'étonnante épopée de la grande chanteuse, à travers ses yeux, son coeur et son âme, de sa Gaspésie natale jusqu'aux feux de la rampe à Montréal. En apprenant à connaître La Bolduc, plus personne n'écoutera ses chansons ni ne l'entendra turluter de la même façon…
Dotée d'un physique imposant, d'une personnalité colorée et d'un caractère à toute épreuve, Mary Travers, dite La Bolduc, ne laissait personne indifférent, allant même jusqu'à déranger l'autorité religieuse. Son arme redoutable : ses chansons comiques à double sens qui collaient à la peau des petites gens. La mauvaise presse avait beau la banaliser en la qualifiant de « commune et vulgaire », la « turluteuse » rétorquait de plus belle avec d'autres refrains drolatiques pour divertir ceux qui l'adulaient et achetaient ses disques par milliers. Malgré les années noires de la Grande Dépression partout où La Bolduc était invitée, elle s'y produisait à guichets fermés. Et cela, les directeurs des salles de spectacles, tout comme les curés des villages, l'avaient bien compris…
La Bolduc : « Le violon de mon père » nous fait revivre le parcours de Mary Travers, dite « madame Bolduc », qui fut la première auteure-compositeure-interprète du Québec à vivre de son art. Son histoire est un périple rempli d'émotion, de courage et de persévérance, et le portrait de toute une époque. Marie Louise Monast nous raconte l'étonnante épopée de la grande chanteuse, à travers ses yeux, son coeur et son âme, de sa Gaspésie natale jusqu'aux feux de la rampe à Montréal. En apprenant à connaître La Bolduc, plus personne n'écoutera ses chansons ni ne l'entendra turluter de la même façon…
Dotée d'un physique imposant, d'une personnalité colorée et d'un caractère à toute épreuve, Mary Travers, dite La Bolduc, ne laissait personne indifférent, allant même jusqu'à déranger l'autorité religieuse. Son arme redoutable : ses chansons comiques à double sens qui collaient à la peau des petites gens. La mauvaise presse avait beau la banaliser en la qualifiant de « commune et vulgaire », la « turluteuse » rétorquait de plus belle avec d'autres refrains drolatiques pour divertir ceux qui l'adulaient et achetaient ses disques par milliers. Malgré les années noires de la Grande Dépression partout où La Bolduc était invitée, elle s'y produisait à guichets fermés. Et cela, les directeurs des salles de spectacles, tout comme les curés des villages, l'avaient bien compris…
La Bolduc : « Le violon de mon père » nous fait revivre le parcours de Mary Travers, dite « madame Bolduc », qui fut la première auteure-compositeure-interprète du Québec à vivre de son art. Son histoire est un périple rempli d'émotion, de courage et de persévérance, et le portrait de toute une époque. Marie Louise Monast nous raconte l'étonnante épopée de la grande chanteuse, à travers ses yeux, son coeur et son âme, de sa Gaspésie natale jusqu'aux feux de la rampe à Montréal. En apprenant à connaître La Bolduc, plus personne n'écoutera ses chansons ni ne l'entendra turluter de la même façon…