la mémoire des camps
Après ses grands-parents, c'est sa vieille tante Esther qu'Alexandra réussit à faire enfin parler.. Son premier violon brisé dans un wagon, un numéro tatoué, l'horreur des camps... et la force vitale de la musique.. Alexandra comprend peu à peu le silence lourd qui pesait sur l'histoire de sa famille, l'histoire de son pays..