Inexplicable mais vrai : le coup de foudre amical existe ! Elizabeth et moi en sommes la preuve vivante. Elle a réussi à convaincre son chum de m'engager moi, Julianne Bournival, chez Côté cour, Côté jardin, même si je suis incompétente en aménagement paysager.
J'aime bien mes nouveaux collègues, mais pour Bertrand, le chef d'équipe, on repassera ! Il me tape royalement sur les nerfs à toujours vouloir que j'enfile d'horribles pantalons Big Bill et des bottes Kodiak pour travailler. Qu'est-ce qu'il a contre mes robes soleil et mes bottes de pluie ?!?
De toute façon, moi, un blond aux yeux bleu ciel – bronzé, musclé, haut de six pieds – qui pourrait être quart-arrière, ça ne me fait ni chaud ni froid !
C'est connu : un beau gars, ça te brise le coeur comme un sauvage pis ça t'abandonne en larmes, soûle morte avec ta bulle de morve au bord du nez, pour aller rejoindre une Christina siliconée.
Je préfère m'en tenir à ma théorie des gars « laittes »… hum… MOYENS. Mathis en est l'exemple parfait. Celui-là peut sacrer son camp si ça lui chante, j'en aurai rien à cirer. Il peut même triper sur une Christina… elle voudra jamais rien savoir de lui. Economie de kleenex et de rhum-punch pour moi !
Inexplicable mais vrai : le coup de foudre amical existe ! Elizabeth et moi en sommes la preuve vivante. Elle a réussi à convaincre son chum de m'engager moi, Julianne Bournival, chez Côté cour, Côté jardin, même si je suis incompétente en aménagement paysager.
J'aime bien mes nouveaux collègues, mais pour Bertrand, le chef d'équipe, on repassera ! Il me tape royalement sur les nerfs à toujours vouloir que j'enfile d'horribles pantalons Big Bill et des bottes Kodiak pour travailler. Qu'est-ce qu'il a contre mes robes soleil et mes bottes de pluie ?!?
De toute façon, moi, un blond aux yeux bleu ciel – bronzé, musclé, haut de six pieds – qui pourrait être quart-arrière, ça ne me fait ni chaud ni froid !
C'est connu : un beau gars, ça te brise le coeur comme un sauvage pis ça t'abandonne en larmes, soûle morte avec ta bulle de morve au bord du nez, pour aller rejoindre une Christina siliconée.
Je préfère m'en tenir à ma théorie des gars « laittes »… hum… MOYENS. Mathis en est l'exemple parfait. Celui-là peut sacrer son camp si ça lui chante, j'en aurai rien à cirer. Il peut même triper sur une Christina… elle voudra jamais rien savoir de lui. Economie de kleenex et de rhum-punch pour moi !
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J'aime bien mes nouveaux collègues, mais pour Bertrand, le chef d'équipe, on repassera ! Il me tape royalement sur les nerfs à toujours vouloir que j'enfile d'horribles pantalons Big Bill et des bottes Kodiak pour travailler. Qu'est-ce qu'il a contre mes robes soleil et mes bottes de pluie ?!?
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