Véritable antidépresseur, ce livre tire un bilan d’une riche expérience en éducation en milieu défavorisé. Il met en évidence les discriminations sociales et économiques, analyse les taux d’échec et de décrochage scolaire importants, donne des explications à la fois historiques et contextuelles, conteste la prétendue « neutralité » de l’école et propose un changement dans la façon de faire et de concevoir l’éducation pour le bénéfice non seulement des enfants, mais de l’ensemble de la société.
Ce plaidoyer s’adresse à toute personne intéressée à l’éducation et, plus particulièrement, aux enseignantEs qui veulent encore changer le monde même si, au cours des ans, on les a découragées de le faire. Il s’adresse aussi aux futures maîtresses d’école qui se sont engagées dans l’enseignement avec l’espoir de fournir un avenir meilleur à nos enfants, elles qui, trop souvent, quittent le métier dans les cinq premières années de son exercice.
Écrit avec beaucoup d’humour et d’ironie, cet essai porte un espoir, celui de voir les maîtresses d’école s’attaquer au « désordre établi » dans le dessein de favoriser une majorité de la population plutôt qu’une minorité.
Véritable antidépresseur, ce livre tire un bilan d’une riche expérience en éducation en milieu défavorisé. Il met en évidence les discriminations sociales et économiques, analyse les taux d’échec et de décrochage scolaire importants, donne des explications à la fois historiques et contextuelles, conteste la prétendue « neutralité » de l’école et propose un changement dans la façon de faire et de concevoir l’éducation pour le bénéfice non seulement des enfants, mais de l’ensemble de la société.
Ce plaidoyer s’adresse à toute personne intéressée à l’éducation et, plus particulièrement, aux enseignantEs qui veulent encore changer le monde même si, au cours des ans, on les a découragées de le faire. Il s’adresse aussi aux futures maîtresses d’école qui se sont engagées dans l’enseignement avec l’espoir de fournir un avenir meilleur à nos enfants, elles qui, trop souvent, quittent le métier dans les cinq premières années de son exercice.
Écrit avec beaucoup d’humour et d’ironie, cet essai porte un espoir, celui de voir les maîtresses d’école s’attaquer au « désordre établi » dans le dessein de favoriser une majorité de la population plutôt qu’une minorité.