Dans les dernières années de son existence, la duchesse du Maine ne supportait plus que le théâtre. Madame de Staal-Delaunay, sa lectrice-confidente, lui écrit deux comédies représentées à Anet L'engouement et La mode. On y découvre en effet l'attirance de la duchesse pour les résidences de campagne, son goût pour la solitude et la retraite, mais aussi son snobisme qui s'identifie volontiers à la volonté de choquer : dans le monde où elle vit, tout principe moral est considéré comme préjugé vulgaire.
Dans les dernières années de son existence, la duchesse du Maine ne supportait plus que le théâtre. Madame de Staal-Delaunay, sa lectrice-confidente, lui écrit deux comédies représentées à Anet L'engouement et La mode. On y découvre en effet l'attirance de la duchesse pour les résidences de campagne, son goût pour la solitude et la retraite, mais aussi son snobisme qui s'identifie volontiers à la volonté de choquer : dans le monde où elle vit, tout principe moral est considéré comme préjugé vulgaire.