Après Ding, dong ! qui fait un clin-d’oeil à Queneau, Robert Soulières a voulu initier gentiment le lecteur aux calligrammes. Les poèmes sont intégrés aux dessins et les images les prolongent avantageusement. Des clinsd’oeil, de menus plaisirs faciles à lire, à rire et à relire. Caroline Merola a participé étroitement à l’élaboration des calligrammes.