"des narines d'un soir d'automne
coule lentement
du lierre ensanglanté"
C'est à une contemplation résignée et dévêtue de tout espoir que l'on assiste ici. Attirant le lecteur dans un dédale d'images tour à tour violentes et doucereuses, le poète y dénoue, instable, tout le fatalisme et toute l'angoisse d'exister, toute l'attente d'une inexorable fin.
"des narines d'un soir d'automne
coule lentement
du lierre ensanglanté"
C'est à une contemplation résignée et dévêtue de tout espoir que l'on assiste ici. Attirant le lecteur dans un dédale d'images tour à tour violentes et doucereuses, le poète y dénoue, instable, tout le fatalisme et toute l'angoisse d'exister, toute l'attente d'une inexorable fin.