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ISBN9782923986371
ÉditeurM EDITEUR
Format-
SectionEssais
Parution2012-04-17
CollectionMobilisations

Fonction puplique menacée! : Le néolibéralisme à l'assaut...

Par Roy, Serge

  • 16,99$ /unité
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No. fourn.
Format En stock Quantité
(9782923986371)
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Description

Quels sont les liens entre les ponts qui s’écroulent, la corruption endémique, la sous-traitance, les coupes dans l’assistance sociale, le bradage des services de l’État à l’entreprise privée, le pelletage de responsabilités aux municipalités, la dégradation des services aux citoyennes et les politiques néolibérales mises en œuvre depuis une trentaine d’années?? Si les gens sont au fait de certains des effets des politiques néolibérales sur les réseaux de la santé, des services sociaux et de l’éducation, peu connaissent ceux sur les services qui relèvent de la fonction publique. Les informations colligées par Serge Roy, qui a été fonctionnaire pendant plus de trente ans, font dresser les cheveux sur la tête. Non seulement nous informe-t-il amplement sur l’ensemble des mesures prises et sur leurs conséquences, mais il montre, en outre, que la stratégie de ceux qui détiennent le pouvoir économique et politique engendre des catastrophes. « Paresse, incompétence, coûts élevés », on ne cesse de dénigrer les fonction¬naires, ce qui permet aux différents gouvernements, libéraux comme péquistes, de légitimer leurs coupes sombres dans les budgets, de baisser ou de geler les salaires (ou encore, d’accorder des augmentations dérisoires, souvent moindres que l’inflation), de dégrader les conditions de travail, de réduire le personnel, d’enclencher des programmes de « réingénierie » au profit du privé, bref de miner les services à la population, ce qui a de nombreuses conséquences délétères, y compris en ce qui a trait à la sécurité des citoyennNEs. Selon Serge Roy, les politiques néolibérales mettent en péril la notion même de service public et étiolent la démocratie. Pour faire contrepoids au pouvoir des multinationales, des investisseurs-spéculateurs et des financiers, la fonction publique doit non seulement être maintenue, mais renforcée. Il faut, argumente-t-il, créer un rapport de force permettant d’en prendre collectivement le contrôle ainsi que de la démocratiser. Candidat de Québec solidaire dans la circonscription de Taschereau, Serge Roy a été, de 1996 à 2001, le président national du Syndicat de la fonction publique du Québec, puis il a présidé, de 2001 à 2007, l’Association québécoise pour un contrat mondial de l’eau. Il est également l’un des fondateurs du premier Comité populaire du quartier Saint-Jean-Baptiste, du journal Droit de parole et de Radio Basse-Ville.

Quels sont les liens entre les ponts qui s’écroulent, la corruption endémique, la sous-traitance, les coupes dans l’assistance sociale, le bradage des services de l’État à l’entreprise privée, le pelletage de responsabilités aux municipalités, la dégradation des services aux citoyennes et les politiques néolibérales mises en œuvre depuis une trentaine d’années?? Si les gens sont au fait de certains des effets des politiques néolibérales sur les réseaux de la santé, des services sociaux et de l’éducation, peu connaissent ceux sur les services qui relèvent de la fonction publique. Les informations colligées par Serge Roy, qui a été fonctionnaire pendant plus de trente ans, font dresser les cheveux sur la tête. Non seulement nous informe-t-il amplement sur l’ensemble des mesures prises et sur leurs conséquences, mais il montre, en outre, que la stratégie de ceux qui détiennent le pouvoir économique et politique engendre des catastrophes. « Paresse, incompétence, coûts élevés », on ne cesse de dénigrer les fonction¬naires, ce qui permet aux différents gouvernements, libéraux comme péquistes, de légitimer leurs coupes sombres dans les budgets, de baisser ou de geler les salaires (ou encore, d’accorder des augmentations dérisoires, souvent moindres que l’inflation), de dégrader les conditions de travail, de réduire le personnel, d’enclencher des programmes de « réingénierie » au profit du privé, bref de miner les services à la population, ce qui a de nombreuses conséquences délétères, y compris en ce qui a trait à la sécurité des citoyennNEs. Selon Serge Roy, les politiques néolibérales mettent en péril la notion même de service public et étiolent la démocratie. Pour faire contrepoids au pouvoir des multinationales, des investisseurs-spéculateurs et des financiers, la fonction publique doit non seulement être maintenue, mais renforcée. Il faut, argumente-t-il, créer un rapport de force permettant d’en prendre collectivement le contrôle ainsi que de la démocratiser. Candidat de Québec solidaire dans la circonscription de Taschereau, Serge Roy a été, de 1996 à 2001, le président national du Syndicat de la fonction publique du Québec, puis il a présidé, de 2001 à 2007, l’Association québécoise pour un contrat mondial de l’eau. Il est également l’un des fondateurs du premier Comité populaire du quartier Saint-Jean-Baptiste, du journal Droit de parole et de Radio Basse-Ville.