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ISBN9782923986432
ÉditeurM EDITEUR
Format-
SectionEssais
Parution2012-08-23
CollectionMouvements

Ne comptons que sur nos propres moyens

Par Thomas, Roy

  • 10,99$ /unité
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No. fourn.
Format En stock Quantité
(9782923986432)
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Description

La fermeture d'usine sous domination étrangère et les mises à pied sont à l'origine de ce qu'on a appelé le manifeste de la CSN (1971). « Qu'est-ce que le capitalisme au Québec ? Qu'est-ce que l'impérialisme américain ? Quelle est la relation entre l'Etat fédéral ou provincial et l'impérialisme américain et anglo-canadien ? Quelle est la relation entre l'implantation et l'expansion des entreprises multinationales et le développement de la structure industrielle du Québec ? Telles sont les questions (toujours actuelle) au coeur de Ne comptons que sur nos propres moyens. Selon le document, la grande illusion d'un Québec capitaliste indépendant consiste à « affirmer qu'il est possible de civiliser le capital étranger est imposant des limites à son action ( mais quelles limites si on doit être obligé de maintenir un régime d'incitation à sa venue? ) ; qu'il est également possible de créer un capitalisme d'Etat ( Rexfor, SGF, etc.) qui serait capable de concurrencer les grandes entreprises multinationales américaines ou anglo-canadiennes. Mais où est l'intérêt des travailleurs. […] Que ce soit du capitalisme privé ou du capitalisme d'Etat, le sort des travailleurs québécois n'en demeurera pas moins lié au régime capitaliste qui perpétuera l'exploitation de leur force de travail. »

La fermeture d'usine sous domination étrangère et les mises à pied sont à l'origine de ce qu'on a appelé le manifeste de la CSN (1971). « Qu'est-ce que le capitalisme au Québec ? Qu'est-ce que l'impérialisme américain ? Quelle est la relation entre l'Etat fédéral ou provincial et l'impérialisme américain et anglo-canadien ? Quelle est la relation entre l'implantation et l'expansion des entreprises multinationales et le développement de la structure industrielle du Québec ? Telles sont les questions (toujours actuelle) au coeur de Ne comptons que sur nos propres moyens. Selon le document, la grande illusion d'un Québec capitaliste indépendant consiste à « affirmer qu'il est possible de civiliser le capital étranger est imposant des limites à son action ( mais quelles limites si on doit être obligé de maintenir un régime d'incitation à sa venue? ) ; qu'il est également possible de créer un capitalisme d'Etat ( Rexfor, SGF, etc.) qui serait capable de concurrencer les grandes entreprises multinationales américaines ou anglo-canadiennes. Mais où est l'intérêt des travailleurs. […] Que ce soit du capitalisme privé ou du capitalisme d'Etat, le sort des travailleurs québécois n'en demeurera pas moins lié au régime capitaliste qui perpétuera l'exploitation de leur force de travail. »

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