A l'heure de la mondialisation et des crises à répétition, les problèmes sociaux inquiètent. Mais, pour mieux comprendre le contexte actuel, ne devrait-on pas plutôt parler de souffrances sociales ? Pourquoi ces souffrances sont-elles souvent tolérées ? En quoi sommes-nous tous un peu complices de cette situation ? Il ne suffit pas de chercher des boucs émissaires. Le changement ne viendra pas d'en haut, mais de la société civile - syndicats, associations - et de chacun d'entre nous.
A l'heure de la mondialisation et des crises à répétition, les problèmes sociaux inquiètent. Mais, pour mieux comprendre le contexte actuel, ne devrait-on pas plutôt parler de souffrances sociales ? Pourquoi ces souffrances sont-elles souvent tolérées ? En quoi sommes-nous tous un peu complices de cette situation ? Il ne suffit pas de chercher des boucs émissaires. Le changement ne viendra pas d'en haut, mais de la société civile - syndicats, associations - et de chacun d'entre nous.
A l'heure de la mondialisation et des crises à répétition, les problèmes sociaux inquiètent. Mais, pour mieux comprendre le contexte actuel, ne devrait-on pas plutôt parler de souffrances sociales ? Pourquoi ces souffrances sont-elles souvent tolérées ? En quoi sommes-nous tous un peu complices de cette situation ? Il ne suffit pas de chercher des boucs émissaires. Le changement ne viendra pas d'en haut, mais de la société civile - syndicats, associations - et de chacun d'entre nous.
A l'heure de la mondialisation et des crises à répétition, les problèmes sociaux inquiètent. Mais, pour mieux comprendre le contexte actuel, ne devrait-on pas plutôt parler de souffrances sociales ? Pourquoi ces souffrances sont-elles souvent tolérées ? En quoi sommes-nous tous un peu complices de cette situation ? Il ne suffit pas de chercher des boucs émissaires. Le changement ne viendra pas d'en haut, mais de la société civile - syndicats, associations - et de chacun d'entre nous.