L'intégration est de nos jours une obligation catégorique pour les dirigeants et peuples d'Afrique. L'auteur estime qu'il est nécessaire de sortir du clivage "fédéralistes" et "souverainistes" d'autant plus que sur le principe, tout le monde est d'accord pour les Etats-Unis d'Afrique. Mais une entité panafricaine ne peut être viable sans des institutions solides et assumées aussi bien par la société civile, les partis politiques, les institutions et tous les corps intermédiaires.
L'intégration est de nos jours une obligation catégorique pour les dirigeants et peuples d'Afrique. L'auteur estime qu'il est nécessaire de sortir du clivage "fédéralistes" et "souverainistes" d'autant plus que sur le principe, tout le monde est d'accord pour les Etats-Unis d'Afrique. Mais une entité panafricaine ne peut être viable sans des institutions solides et assumées aussi bien par la société civile, les partis politiques, les institutions et tous les corps intermédiaires.
L'intégration est de nos jours une obligation catégorique pour les dirigeants et peuples d'Afrique. L'auteur estime qu'il est nécessaire de sortir du clivage "fédéralistes" et "souverainistes" d'autant plus que sur le principe, tout le monde est d'accord pour les Etats-Unis d'Afrique. Mais une entité panafricaine ne peut être viable sans des institutions solides et assumées aussi bien par la société civile, les partis politiques, les institutions et tous les corps intermédiaires.
L'intégration est de nos jours une obligation catégorique pour les dirigeants et peuples d'Afrique. L'auteur estime qu'il est nécessaire de sortir du clivage "fédéralistes" et "souverainistes" d'autant plus que sur le principe, tout le monde est d'accord pour les Etats-Unis d'Afrique. Mais une entité panafricaine ne peut être viable sans des institutions solides et assumées aussi bien par la société civile, les partis politiques, les institutions et tous les corps intermédiaires.