Le fleuve, c’est ce qui traverse, comme une veine primordiale, ces récits à la fois intimes et universels. C’est cette force, cette puissance qui caractérise aussi « la meute », cette famille que ni les drames, ni la maladie, ni la mort prématurée n’arrivent à détruire.. Tour à tour enfant, puis jeune fille, puis mère, puis femme mûre, la narratrice se transforme et se dévoile à travers ses liens avec ses frères, soeurs et parents, qui ont chacun contribué à façonner celle qu’elle est devenue. En faisant d’eux les personnages d’une histoire éternelle et lumineuse, elle leur rend le plus magnifique des hommages..