Aux environs de Lyon, 183 valeureux combattants africains morts pour la France au cours des combats de la Deuxième Guerre mondiale, reposent au Tata de Chasselay, cimetière-mémorial. Les "Preux Chevaliers Noirs de l'Afrique française", comme les désigna Jean Marchiani, furent nombreux à participer aux combats... Et, dès août 1940, ils constituèrent les premières colonnes de la France combattante, avant-garde de l'épopée victorieuse de la légendaire Deuxième Division Blindée du général Leclerc.
Aux environs de Lyon, 183 valeureux combattants africains morts pour la France au cours des combats de la Deuxième Guerre mondiale, reposent au Tata de Chasselay, cimetière-mémorial. Les "Preux Chevaliers Noirs de l'Afrique française", comme les désigna Jean Marchiani, furent nombreux à participer aux combats... Et, dès août 1940, ils constituèrent les premières colonnes de la France combattante, avant-garde de l'épopée victorieuse de la légendaire Deuxième Division Blindée du général Leclerc.
Aux environs de Lyon, 183 valeureux combattants africains morts pour la France au cours des combats de la Deuxième Guerre mondiale, reposent au Tata de Chasselay, cimetière-mémorial. Les "Preux Chevaliers Noirs de l'Afrique française", comme les désigna Jean Marchiani, furent nombreux à participer aux combats... Et, dès août 1940, ils constituèrent les premières colonnes de la France combattante, avant-garde de l'épopée victorieuse de la légendaire Deuxième Division Blindée du général Leclerc.
Aux environs de Lyon, 183 valeureux combattants africains morts pour la France au cours des combats de la Deuxième Guerre mondiale, reposent au Tata de Chasselay, cimetière-mémorial. Les "Preux Chevaliers Noirs de l'Afrique française", comme les désigna Jean Marchiani, furent nombreux à participer aux combats... Et, dès août 1940, ils constituèrent les premières colonnes de la France combattante, avant-garde de l'épopée victorieuse de la légendaire Deuxième Division Blindée du général Leclerc.