Au XIIe siècle, être moine cistercien, puis devenir archevêque était chose courante. Ce fut le chemin qu'emprunta Pierre de Tarentaise, qui s'impliqua dans la vie politique et religieuse de son temps. Ses pas le conduisirent de monastère en monastère, en France et à l'étranger, pour s'achever à l'abbaye cistercienne de Bellevaux, au milieu de ses frères, où il remit son âme à Dieu en 1174.
Au XIIe siècle, être moine cistercien, puis devenir archevêque était chose courante. Ce fut le chemin qu'emprunta Pierre de Tarentaise, qui s'impliqua dans la vie politique et religieuse de son temps. Ses pas le conduisirent de monastère en monastère, en France et à l'étranger, pour s'achever à l'abbaye cistercienne de Bellevaux, au milieu de ses frères, où il remit son âme à Dieu en 1174.