Nombreuses sont les études anthropologiques qui s'accordent pour reconnaître que le Négro-africain minimise la portée de la mort, ce qui lui permet de l'accepter et de l'assumer en l'intégrant dans son système culturel. Mais de quel africain parle-t-on ? Celui de l'Afrique précoloniale ou de l'Afrique esclavagisée, colonisée et postcolonisée ? De l'innocent qui vivrait dans un village hors du temps ou des personnes qui tentent désespérément, en ville, de s'accrocher à toutes les épaves de la modernité ?
Nombreuses sont les études anthropologiques qui s'accordent pour reconnaître que le Négro-africain minimise la portée de la mort, ce qui lui permet de l'accepter et de l'assumer en l'intégrant dans son système culturel. Mais de quel africain parle-t-on ? Celui de l'Afrique précoloniale ou de l'Afrique esclavagisée, colonisée et postcolonisée ? De l'innocent qui vivrait dans un village hors du temps ou des personnes qui tentent désespérément, en ville, de s'accrocher à toutes les épaves de la modernité ?