Le colonisateur est arrivé au XIXè siècle devant une "forêt vierge". A la fin de ce siècle, il l'a mise en exploitation à la fois pour en exporter "l'acajou bassam" qui était utilisé dans la construction navale, et pour en tirer les droits de sortie qui sont encore perçus aujourd'hui. Certains commandants de cercle ont collecté les coutumes locales qui auraient dû fonder les décisions de la "justice indigène" et le droit moderne de la Côte d'Ivoire. En reprenant cette collecte, la Côte d'Ivoire pourrait se doter d'un droit civil plus conforme aux moeurs et aux usages des habitants.
Le colonisateur est arrivé au XIXè siècle devant une "forêt vierge". A la fin de ce siècle, il l'a mise en exploitation à la fois pour en exporter "l'acajou bassam" qui était utilisé dans la construction navale, et pour en tirer les droits de sortie qui sont encore perçus aujourd'hui. Certains commandants de cercle ont collecté les coutumes locales qui auraient dû fonder les décisions de la "justice indigène" et le droit moderne de la Côte d'Ivoire. En reprenant cette collecte, la Côte d'Ivoire pourrait se doter d'un droit civil plus conforme aux moeurs et aux usages des habitants.