"La poésie de Paul Mari n'a rien à proprement parler d'une partie de plaisir bien qu'elle dispense de singulières jouissances : avec les simples mots des hommes de tous les jours, le poète de Coaraze nous révèle l'absurdité d'une réalité égarante en laquelle il décèle une métaphysique des petits riens où notre existence se défait, où nos jours et nos nuits se dissipent en poussières de particules grises." André Chenet
"La poésie de Paul Mari n'a rien à proprement parler d'une partie de plaisir bien qu'elle dispense de singulières jouissances : avec les simples mots des hommes de tous les jours, le poète de Coaraze nous révèle l'absurdité d'une réalité égarante en laquelle il décèle une métaphysique des petits riens où notre existence se défait, où nos jours et nos nuits se dissipent en poussières de particules grises." André Chenet