"Je m'aveugle pour te regarder/ Que crains-tu?/ Je sais que tu n'es pas le ciel/ Je sais que tu n'es pas le sexe dominant/ Je sais que tu n'as pas la science infuse/ Je sais enfin que tu es un être faible." A la relecture de "L'EXCLUE(E)", l'auteur s'est demandé si l'exclusion résultait d'un choix délibéré ou d'un tacite consentement à être en marge des normes de la liberté sociale ou d'une adhésion à l'absolue lutte. Il en est arrivé à la conviction que l'exclusion est la tare assassine d'une société hantée par la soif inextinguible et absurde de supériorité, de domination.